Il y a deux réponses à cette question.

Tout d’abord, j’ai constaté « in situ » que Norsys est très loin de l’idée que je me fais des SSII « classiques », car elle ne considère pas ses salariés comme des ressources consommables et n’est pas prête à tout sacrifier pour le compte de la sacro-sainte rentabilité.

Au contraire, l’entreprise cherche à faire au mieux pour tout le monde, et lorsque je dis « tout le monde », cela englobe aussi bien le collaborateur que l’entreprise, le client, la société civile, ainsi que l’environnement et la planète.

Ensuite, j’avoue que j’ai eu de très gros doutes lorsque j’ai entendu ce discours, mais mon arrivée chez Norsys est également le résultat d’une rencontre avec une personne qui a une vision claire de son objectif, de ceux de son entreprise et des moyens nécessaires pour les atteindre. De plus, il m’a donné suffisamment d’informations pour comprendre comment je pouvais aider à atteindre ces objectifs et m’a raconté suffisamment d’anecdotes pour susciter en moi l’envie de savoir si tout cela n’était pas juste un discours marketing bien rodé.

L’un dans l’autre, j’ai donc décidé d’être payé pour voir, et j’avoue que depuis, je n’ai pas été déçu puisque j’ai pu constater que tout cela n’était pas que du vent et que les nœuds borroméens qui servent de logo à Norsys n'ont pas été choisis uniquement pour leur esthétisme puisqu’ils incarnent effectivement les valeurs de la société et surtout la façon dont elle souhaite les concilier aujourd’hui et demain.

Tout n’est évidemment pas parfait, mais Norsys a une réelle volonté de faire progresser l’intérêt commun en s’améliorant à l’aide de l’expérimentation et du feed-back de ses employés et de ses clients.

Et ça fait du bien !

Après 15 ans d’expérience professionnelle durant lesquelles je me suis toujours refusé à travailler pour une SSII, car elles étaient pour moi le Mal incarné, je me sens à nouveau à ma place au sein de l’une d’elles, et avec en prime des perspectives d’évolution correspondant à mes convictions et mes envies.

S’il y a une leçon à retenir de tout cela, c’est qu’il faut vraiment ne jamais préjuger de rien (et qu’accessoirement, qu’il n’y a que les cons qui ne changent pas d’avis).