J'avais indiqué dans mon billet d'anniversaire que je j'allais abordé de nouveaux thèmes dans ce blog, et notamment le développement agile.

Ce billet est donc le premier d'une série que j'espère longue sur ce sujet qui me tient particulièrement à cœur, car je suis persuadé que l'avenir du développement logiciel et surtout la qualité logicielle passe par l'utilisation de l'agilité.

De plus, chez PMSIpilot, mon nouvel employeur, les équipes de développement sont en train de passer en mode agile, et j'ai donc de la matière brute de première main et un retour direct d'expérience à vous faire partager.

Les sprints ont en effet débuté il y a quelques mois, et un certain nombre de pratiques, pour la plupart issues de SCRUM, sont en place.

Il y a donc entre autre pour chaque projet un backlog, une réunion de planification, une estimation de la complexité, des sprints de trois semaine, une mêlée matinale, un mur, des tickets, un burn down chart, des rétrospectives, etc.

Tout cela est évidemment épaulé par de l'intégration continue ainsi que par des tests unitaires et fonctionnels, même si le développement piloté par les tests et la programmation en duo ne sont pas encore au goût du jour et sera complété prochainement par du développement piloté par les tests et de la programmation en duo.

C'est donc naturellement que mon équipe a suivi le mouvement lorsque nous avons commencé à travailler sur notre projet, et comme j'en suis le seul membre à avoir une expérience agile, je me suis permis de proposer certains ajouts, tel que le calendrier Niko-Niko.

Je vous propose donc ici un bilan de cette pratique, suite à la conclusion de notre premier sprint.