J’ai découvert les mocks (ou les bouchons, en français) en 2005, lorsque j’ai commencé à m’intéresser très sérieusement aux tests.

J’avoue qu’à l’époque, je n’y ai vu qu’une couche de complexité qui n’apportait pas une réelle valeur ajoutée, et j’ai gardé cette opinion pendant longtemps, même si ponctuellement, j’y ai vu un réel intérêt.

Et puis j’ai commencé à m’intéresser à ce qu’était réellement la programmation orientée objet, et j’ai alors totalement changé d’avis à propos des bouchons.

Je ne peux aujourd’hui plus du tout m’en passer et je les mets en œuvre systématiquement pour simuler les dépendances de mon code.

Pourquoi est-ce que je vous explique tout cela ?